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Références et documents annexes

Déclaration du Dr Hardy Limeback, incluant une déposition légale

Dans cette déclaration récente et à jour sur le plan scientifique, le Dr Limeback présente une déposition légale sur la fluoration, avec des références tirées de la littérature scientifique. Lui-même dentiste, il était autrefois chargé de promouvoir la fluoration artificielle de l’eau au Canada. Avec le Dr Morin, le Dr Limeback est actuellement considéré comme le plus grand expert canadien sur la fluoration. Il est le seul expert canadien à avoir été invité à participer à la révision scientifique de 2006, menée par l’Académie nationale des sciences des États-Unis, un exercice qui s’est étalé sur une période de trois ans et demi. Cette révision à mené à la publication du rapport de 500 pages du NRC, sur la toxicologie des fluorures. Comme le précise clairement le Dr Limeback dans sa déclaration, les données scientifiques troublantes qu’il nous cite, ne sont pas de la pseudoscience, comme voudraient nous le faire croire les promoteurs de la fluoration. Il nous met en garde : « En ce qui me concerne, après avoir siégé au sein du comité du NAS aux États-Unis pendant plus de trois ans, je considère que les données probantes indiquant que la fluoration est plus néfaste que bénéfique sont accablantes. Les villes qui négligent de considérer TOUTES les données récentes encourent le risque de poursuites légales futures.».

Adaptation française: Action Fluor

Québec – Déclaration du Dr Hardy Limeback 15 nov. 2011

J’ai siégé pendant 3 ½ ans au sein du sous-comité de la NAS (Académie nationale des sciences des États-Unis) qui s’est penchée sur le fluorure dans l’eau potable. La NAS est parfois dénommée la ‘Cour suprême de la Science’. C’est une organisation qui met sur pied des comités non biaisés pour réviser scientifiquement les questions qui préoccupent les Américains.

Notre rapport, publié le 22 mars 2006, est disponible en ligne : http://www.nap.edu/catalog.php?record_id=11571

Notre comité a été financé par l’EPA (Agence environnementale des États-Unis).

Nous n’avons pas examiné les avantages de la fluoration, mais nous a vons recensé toute la littérature pertinente sur la toxicologie du fluorure, incluant l’ingestion à faible dose et les effets de la fluoration.

L’EPA a pris plus de cinq ans avant de répondre à notre rapport. Cette agence reconnaît maintenant que le fluorure dans l’eau potable pose problème et elle a abaissé la concentration recommandée dans l’eau potable à 0.7 mg/L (ppm). L’ADA (Association dentaire américaine) et le CDC (Centre de contrôle des maladie), s’accordent tous deux sur le fait que l’on doit éviter d’utiliser l’eau fluorée dans le lait maternisé, car cela augmente le risque de fluorose dentaire. Je considère que la fluorose dentaire est le biomarqueur d’un empoisonnement au fluorure. En se limitant à suivre les recommandations d’experts pro-fluoration, Santé Canada s’est trompé et n’a pas émis les mêmes mises en garde. Cependant, Santé Canada n’est pas celle qui établit les politiques de fluoration, ni les provinces. Ce sont les municipalités qui prennent la décision de fluorer en bout de ligne. À ma connaissance, les fonctionnaire de la Santé publique n’ont fait aucun effort pour informer les femmes enceintes (et celles ayant un nourrisson), qu’il faut éviter l’eau fluorée dans le lait maternisé. Cette inaction est regrettable.

Pendant des années à l’Université de Toronto, j’ai étudié la fluorose (empoisonnement au fluorure) et les effets de l’ingestion du fluorure sur les os. Dans une étude canadienne, nous avons comparé l’os de la hanche de Torontois (fluorés depuis 1963) à celui de Montréalais (jamais fluorés) et avons découvert une tendance troublante : des changements néfastes dans la qualité des os des Torontois.

Ceci N’EST PAS DE BON AUGURE.

Puisque nous avons travaillé avec un segment de la population qui avait été sélectionné pour le remplacement de la hanche, nous n’avons pu examiner ceux qui sont exposés au fluorure toute leur vie. Si cela avait été le cas, nous aurions découvert plus de dommages, car le fluorure s’accumule avec les années (et notre étude l’a confirmé).

Ce genre d’étude indique non seulement que le fluorure injecté dans l’eau est la cause d’un émail défectueux (TRÈS cher à traiter), mais également de dommages aux os.

Le comité du NAS a examiné toute la littérature traitant des effets du fluorure sur les os, jusqu’en 2006. Depuis lors, de nouvelles études sur la fluor ation et les os, ainsi que ses liens avec le cancer, ont été menées. Notre étude comparant Toronto à Montréal, publiée en 2010, n’a pas été incluse dans la révision de 2006 de la NAS.

Je suis également co-auteur d’études qui démontrent qu’un excès de fluorure accumulé dans la dentine des dents (le tissu sur lequel l’émail s’appuie), modifie ses propriétés. On n’a PAS démontré que le fluorure est sécuritaire et efficace. En fait, à mesure que de nouvelles études toxicologiques sont publiées, il est devenu clair que le vent tourne et que le fluorure ‘N’EST PAS sécuritaire et qu’iln’est plus efficace’.

En tant que dentiste praticien, j’ai diagnostiqué des patients atteints de fluorose dentaire pendant près de 20 ans. Ma recherche sur la fluorose dentaire (confirmée par le rapport du NRC de 2006 et par la révision de York), démontre que la fluoration augmente significativement le nombre de patients qui désirent faire réparer leurs dents, à grands frais. Aucun fonctionnaire de la Santé publique n’a jamais tenu compte de ces coûts additionnels lors de la comparaison du rapport coûts/bénéfices de la fluoration.

Le rapport du NRC (affilié à la NAS) de 2006 a également conclu que le fluorure peut possiblement exacerber le cancer des os. On y énonce à la p. 336 que le « Le fluorure semble avoir le potentiel d’initier ou d’exacerber les cancers, en particulier celui des os, mais la preuve est jusqu’à maintenant provisoire et contradictoire (Tables 10-4 and 10-5) « . Ce seul paragraphe devrait forcer l’EPA à établir une cible du MCL (concentration maximale permise) pour le fluorure dans l’eau potable de ZERO (idem à l’arsenic).

L’EPA n’a pas encore pris de décision concernant l’effet cancérogène du fluorure.

J’ai examiné cette question sous tous les angles et j’en ai conclu que les villes fluorées épargneraient en frais de fluoration, les parents épargneraient en coûts des traitements de la fluorose dentaire. Le taux de carie, lui, resterait inchangé ou continuer aient à chuter (tel que démontré par plusieurs études modernes sur la cessation de la fluoration).

La santé des citoyens s’améliorerait en mettant fin à l’injection de fluorures chimiques (des déchets industriels) dans l’eau potable.

Il est absurde que des déchets industriels toxiques soient acheminés par camion pour être déversé dans l’eau potable des grandes villes nord-américaines. Non seulement cela met sérieusement en danger la santé des employés, mais en cas de déversement accidentel majeur, cela pourrait libérer les émanations hautement toxiques de l’acide fluosilicique dans l’air, mettant en danger la vie des gens.

Ce sont les municipalités qui prennent la décision de fluorer. Cela signifie que c’est la ville qui est finalement responsable de la fluoration. Je n’ai pu trouver nulle part énoncé dans la loi ontarienne (voir :

http://www.e-laws.gov.on.ca/html/statutes/english/elaws_statutes_90f22_e.htm

) que lesvilles doivent fournir une alternative à la fluoration, si le conseil municipal décide de mettre fin à cette mesure.

Plusieurs villes canadiennes ont déjà décidé qu’il est inutile de continuer à fluorer l’eau. Québec, Calgary et Waterloo ont récemment mis fin à cette pratique. Il ne subsiste aucun doute dans mon esprit que l’efficacité de la fluoration à contrer la carie est quasi nulle.

Les données actuelles sont claires à ce sujet. Les études démontrent que l’arrêt de la fluoration ne mène pas à une augmentation de la carie. En fait le taux de carie continue à chuter. Puisque l’ingestion de fluorure retarde l’éruption des dents, les études qui ne tiennent pas compte de cet effet sont erronées.

Les auteurs de l’étude de York ont reconnu ce problème. Même cette dernière étude est erronée à cause de cela. De plus, en faisant la révision systématique, ces auteurs ont commis une grave erreur en estimant les bénéfices en faisant l’amalgame des études modernes et anciennes, alors que le taux de carie était bien plus élevé à l’époque.

Ci-après, vous trouverez une discussion formelle (déposition légale) de ce qui vient d’être discuté, mais avec des références tirées de la littérature scientifique. Les données scientifiques citées ne sont pas de la pseudo-science, comme le prétendent les promoteurs de la fluoration.

Sincèrement, Dr Hardy Limeback BSc, PhD, DDS Professeur et Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l’Université de Toronto 124 Edward St. rm 455 – Toronto, Ontario, Canada –

M5G-1G6

Ph: 416 979-4929

fax: 416 979-4936

cell: 647 680-4929

courriel:

hardy.limeback@dentistry.utoronto.ca

Déposition légale du Dr Hardy Limeback

Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l’Université de Toronto, professeur dedentisterie, docteur en biochimie, dentiste avec 27 ans d’expérience et chercheur spécialisé sur la formation des dents, des os et sur le fluorure.

Je suis l’un des 12 scientifiques qui a siégé sur le panel de la NAS (US National Academy of Sciences) qui a publié en 2006 le rapport, « Fluoride in Drinking Water: A Scientific Review of the EPA’sStandards.” (Le fluorure dans l’eau potable: Une révision scientifique des normes de l’EPA)

Permettez-moi de présenter brièvement les arguments démontrant que la fluoration est une esurede santé publique inefficace et dangereuse.

  1. La fluoration n’est plus/pas efficace Le fluorure injecté dans l’eau cause l’éruption tardive des dents. Par conséquent, cela ne fait que retarder la carie dentaire (Komarek et al, 2005, Biostatistics 6:145-55).

Les études affirmant que la fluoration est efficace datent de 25 ans et plus ; elles ont été menées avant l’utilisation à grande échelle des dentifrices fluorés. Plusieurs études modernes concluent qu’il n’y a aucune différence entre les taux de carie des zones fluorées et non fluorées. L’une de ces études a été menées en Australie en 2004 (Armfield & Spencer, 2004 Community Dental Oral Epi demiology. 32:283-96).

Les études récentes sur la cessation de la fluoration de l’eau montrent que la fluorose dentaire (des taches et des marbrures sur les dents) diminue, mais sans augmentation de la carie dentaire (ex : Maupome et al 2001, Community Dental Oral Epidemiology 29: 37-47).

La Santé publique continue d’affirmer que le taux de carie est catastrophique. En Europe, le taux moyen national de carie dentaire est passé de plus de 15 caries(dans les années 1940-50, avant les dentifrices fluorés) à 2 caries par enfant (données de l’OMS) ; environ la moitié des enfants grandissent sans avoir une seule carie dentaire. Dans la plupart des pays européens, ce succès remarquable a été réalisé sans avoir recours à la fluoration. En fait, la « crise » de la carie si souvent mentionnée, résulte en grande partie de l’abus de sucre, particulièrement les boisons gazeuses. Selon un rapport de 2005 (Jacobsen, Center for Science in the Public Interest), les enfants américains consomment de 40 à 44 % du sucre raffiné via les boissons gazeuses. Puisque la majorité de ces boissons sont constituées d’eau fluorée, il est évident que le fluorure ne fait pas partie de la solution.

Les enfants défavorisés souffrant de carie sévère ont besoin d’assistance professionnelle et il appert qu’ils n’y ont pas accès. Les familles défavorisées font de mauvais choix alimentaires et elles ne peuvent se payer des soins dentaires. Les caries non traitées et le manque d’intervention professionnelle résultent en davantage de caries. La révision de York n’a pas été en mesure de démontrer que la fluoration est bénéfique pour les personnes défavorisées, pas plus que pour les autres groupes de la population. La Révision de York, tout comme celles qui ont suivi, incluant la Revue systématique australienne (Systematic Review of the Efficacy and Safety of Fluoridation)

http://www.nhmrc.gov.au/publications/synopses/eh41syn.htm et celle de Santé Canada sur la fluoration de l’eau :

http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/2008-fluoride-fluorure/index-eng.php

ont été incapables d’identifier une seule étude clinique menée en double aveugle et randomisée qui soit en mesure de prouver que la fluoration fonctionne, après correction du régime alimentaire et du retardement de l’éruption des dents.

Cela signifie que les examinateurs ont échoué dans leur démonstration des données probantes exigées en Amérique du Nord lors de l’homologation d’un médicament. Qui plus est, la majorité des examinateurs admettent que la preuve de sûreté est insuffisante, puisque les essais cliniques correctement effectués n’avaient pas pour but de mesurer les effets indésirables sur la santé.

À ce jour, aucune des revues de la littérature n’a abordé la question suivante : la fluoration est-elle en mesure de réduire la prévalence ou la sévérité de la carie dentaire chez les nourrissons (ceux quipeuvent être affectés par la « carie du biberon ») ? En Amérique du Nord, un large pourcentage desdentistes refusent les patients subventionnés par le gouvernement, parce qu’ils gagnent moins d’argent en le faisant. Selon mon expérience, plusieurs dentistes appuient la fluoration parce qu’elle leur donne bonne conscience et les libère de leur responsabilité envers ceux qui ne peuvent se permettre des soins dentaires. En fait, des « crises

 » dentaires similaires ont été rapportées dans les villes qui sont pourtant fluorées depuis des années.

Je considère que les fonctionnaires de la Santé publique chargés des programmes communautaires trompent le public lorsqu’ils affirment que boire du fluorure « rend les dents plus résistantes ». Le fluor n’est pas un nutriment essentiel. Avant l’éruption des dents dans la cavité buccale, le fluorure ne rend pas les dents en croissance plus résistantes à la carie. Le bénéfice minime que l’eau fluorée pourrait encore avoir sur les dents résulte (sans utilisation de dentifrice fluoré) de l’exposition « topique » (en surface) lorsque les dents sont exposées quotidiennement à un environnement acide causé par le sucre et l’amidon

(Limeback 1999, Community Dental Oral Epidemiology 27: 62-71),

ce point est désormais reconnu par le CDC (Centers for Disease Control).

2. La fluoration est la cause principale de la fluorose dentaire Il est impossible de contrôler la dose de fluorure ingérée par l’utilisateur final, même à une concentration de fluorure de 1 ppm (partie par million) dans l’eau potable. Les bébés et les tout petits peuvent ingérer trop de fluorure lors que l’eau fluorée est utilisée dans le lait maternisé (Brothwell &

Limeback, 2003 Journal of Human Lactation 19: 386-90).

Puisque la majorité du fluorure ingéré provient de l’eau fluorée, le risque de fluorose dentaire augmente fortement dans les zones fluorées (National Academy of Sciences: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006).

L’ADA (American Dental Association) et le Forum dentaire irlandais ont tous deux admis

que l’eau fluorée ne doit pas être utilisée pour reconstituer le lait maternisé.

Depuis le tout début de la fluoration de l’eau dans les années 1940, l’exposition au fluorure a triplé.

Désormais, un enfant sur trois est affecté par la fluorose dentaire (CDC, 2005).

La fluorose n’est pas seulement un effet cosmétique. Les formes les plus sévères sont associées à une augmentation de la carie (NAS: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006) et les impacts psychologiques chez les enfants sont négatifs. La majorité des enfants atteints de fluorose dentaire modérée à sévère (dont la prévalence est supérieure dans les zones fluorées et dont le nombre n’est pas négligeable en terme de pourcentage de population affectée) cherchera à restaurer ses dents, faisant appel à un important travail de réparation coûtant des millier s de dollars par patient. On peut réduire la fluoro se dentaire en fermant le robinet de la fluoration et ce, sans augmenter le taux de carie dentaire

(Burt et al 2000 Journal of Dental Research 79(2):761-9).

3. Les fluorures chimiques n’ont pas été testés pour en assurer la sûreté Toutes les études animales sur le cancer ont été menées en utilisant du fluorure de sodium. Les données sont plus que suffisantes pour conclure que même ce composé de fluorure peut favoriser le cancer car il s’accumule dans les os jusqu’à des concentrations potentiellement cancérigènes (NAS: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006).

Certaines communautés injectent du fluorure de sodium dans l’eau potable, mais ce produit diffère de celui utilisé dans les dentifrices. La majorité des villes utilisent de l’acide fluosilicique (ou l’un de ses sels).

Le H2SiF6 est un produit chimique concentré directement à partir du système épurateur installé dans les cheminées, lors de la production des fertilisants phosphatés ; ce produit est acheminé vers les usines de traitement d’eau et est directement déversé dans l’eau potable. Il s’agit d’un fluorure de qualité industrielle et contaminé avec des traces de métaux lourds tels que le plomb, l’arsenic et le radium. Ces polluants sont nocifs pour les êtres humains et ce, à la concentration injectée dans l’eau potable.

De plus, l’utilisation de l’acide fluosilicique de qualité industrielle fait augmenter le risque de

plombémie chez les enfants (Masters et al 2000, Neurotoxicology. 21(6): 1091- 1099), car il est probable que ce produit réagisse avec le plomb dans les conduites des vielles maisons. Cet effet n’a pas pu être écarté par le CDC dans une étude récente

(Macek et al 2006, Environmental Health Perspectives 114:130-134).

Aucun de ces problèmes n’a jamais été considéré dans le cadre des révisions mandatées par les gouvernements.

4. La fluoration de l’eau est associée à de sérieux risques de santé

Cancer :

L’ostéosarcome (cancer des os) chez les jeunes garçons est l’un des risques identifiés par une étude de l’Université Harvard (Bassin, Cancer Causes and Control, 2006).

L’auteur de cette étude, le Dr. Elise Bassin, reconnaît que c’est possiblement l’utilisation des fluorures contaminés (voirplus haut) qui explique l’augmentation de 500% du risque de cancer chez les jeunes garçons. L’étude tant attendue qui a été publiée par son ancien directeur de thèse doctorale (le Dr. Chester Douglass)n’a en aucune manière réfuté cette découverte. En 2006, en attendant la version finale de l’étude de Harvard, le comité du NAS (National Academy of Sciences) a hésité à désigner le fluorure comme substance potentiellement cancérogène. L’étude a maintenant été publiée et donc rien n’a changé en ce qui a trait aux risques (Kim FM et al. 2011, J Dent Res. 90(10):1171-6).

Fracture des os :

Boire en moyenne 1 litre/jour d’eau naturellement fluorée à 4 ppm augmente le risque de douleur et de fracture des os (National Academy of Sciences: Toxicological Riskn of Fluoride in Drinking Water, 2006).

Puisque le fluorure s’accumule dans les os, le même risque existe chez ceux qui boivent 4 litres/jour d’eau artificiellement fluorée à 1 ppm, tout comme chez les malades du rein.

De plus, les Anglais sont connus pour leur coutume à boire du thé et puisque le thé contient du fluorure, l’eau fluorée place les buveurs de thé dans une situation dangereusement proche de la limite associée aux fractures des os.

Nous avons récemment publié une étude sur le fluorure et les os. Cette étude (Chachra et al, J Dent Res 89(11):1219-1223, 2010) a trouvé qu’il existe une tendance nocive en ce qu’i a trait aux changements observés dans les os des Torontois qui n’ont vécu qu’une partie de leur vie dans cette ville fluorée. Les études sur la fluoration n’ont jamais démontré convenablement que le fluorure est sécuritaire chez les individus qui ne peuvent contrôler la dose, ni chez les patients qui l’éliminent difficilement.

Effets nocifs sur la fonction thyroïdienne :

Le rapport de la NAS (National Academy of Sciences) (NAS: Toxicological Risk of Fluoride in Drinking Water, 2006)

présente avec moult détails les effets néfastes du fluorure sur le système endocrinien, en

particulier la glande thyroïde. La fluoration devrait être stoppée rien qu’en se basant sur le fait que la fonction endocrine n’a jamais été étudiée en relation à l’ingestion du fluorure.

Effets neurologiques indésirables :

En plus de l’accumulation de plomb (une neurotoxine reconnue) chez les enfants des villes fluorées, le fluorure est neurotoxique. Nous commençons à peine à comprendre comment le fluorure affecte le cerveau.

De plus, plusieurs études récentes suggèrent que le fluorure dans l’eau fluorée réduit l’intelligence (réduction du QI) (NAS,2006).

Il est nécessaire d’étudier cette question plus en profondeur.

En ce qui me concerne, après avoir siégé au sein du comité du NAS aux États-Unis pendant plus de trois ans, je considère que les données probantes indiquant que la fluoration est plus néfaste que bénéfique sont accablantes. Les villes qui négligent de considérer TOUTES les données récentes encourent le risque de poursuites légales futures.

Dr. Hardy Limeback PhD, DDS Professeur et Directeur du département de Médecine dentaire préventive de l’Université de Toronto

Comment nier aujourd’hui les dangers du fluor ?

Dans « Union News » tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l’article « votre dentifrice est-il sûr » cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche chez ARM et AMMER « quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de

mort et les tibias croisés »

1 « 50 raisons de s’opposer à la fluoration« 

– Un article fourni :

http://www.amessi.org/50-Raisons-de-s-opposer-a-la-fluoation

2 « Le fluor et l’aluminium »:

Sources : Les Echos, n°17789 à 17792, décembre 1998

Facteur X, n°12

Médecines Nouvelles , n°90, 1998

L’EXPRESS , n°2482, janvier 1999

France Soir , 25/09/98, 14/10/98, 22/10/98, 19/11/98

Sonia Deffrennes pour www.ADAPA.org

Le Fluor

Le fluor apparut dans les années 50 comme un progrès dans le combat contre les caries et la plaque dentaire. Il fut introduit dans la composition des pâtes dentifrices et le réseau de distribution d’eau courante sous forme d’antiseptique (acide hexafluorosilicique).

Mais seules des doses réduites permettent une action positive du fluor.

L’accumulation à long terme de cette substance engendre des effets néfastes en matière de santé, telque la destruction de l’émail des dents, le développement de maladie telle que l’ostéoporose, de troubles cardiaques et psychiques, et même de dégâts génétiques. Les effets toxiques du fluor à haute dose ne sont plus remis en doute quand on sait qu’il entre dans la composition des insecticides et des bactéricides.

Les effets psychiques, quant à eux, ont été démontrés par les savants Allemands à la solde d’Hitler.

Le 3e Reich donna l’ordre aux usines chimiques I.G.Farben, basées à Francfort, de produire du fluor en quantité. Celui-ci devait être mélangé à l’eau potable destinée aux prisonniers des stalags. Cette distribution avait pour but de maintenir la discipline dans les camps, grâce aux effets sédatifs du fluor. Le Tribunal de Nuremberg mit en évidence la culpabilité 24 responsables I.G. Farben pour divers crimes commis durant les années de guerre, et scinda la société en trois entités distinctes :

BASF, BAYER et HOECHST. Les responsables d’I.G. Farben de l’époque furent libérés par le Ministre des Affaires Etrangères des USA et partenaire comme rcial, Nelson Rockefeller, et leurs homologues, anciens membres du parti Nazi, financèrent à partirde 1959 le jeune Helmut Kohl.

Le Fluor et l’Aluminium danger De nos jours…

On compte sur le marché plus de soixante tranquillisants, plus ou moins puissants selon la proportion de fluor qu’ils contiennent. La concentration maxim ale autorisée dans l’eau distribuée dans nos robinets est de 1500 microgramme par litre, mais elle est régulièrement dépassée. Un nouveau matériau d’obturation de la carie dentaire, la Définite(mis au point par la société Degussa en Allemagne), arrive sur le marché. Ce matériau, de par sa composition, rejette des ions de fluor dans la bouche, et est capable de se recharger en fluor par l’alimentation ou la pâte dentifrice.

Les puissances financières colossales que constitue nt les industries chimiques et pharmaceutiques, et leur mainmise sur de multiples secteurs de l’activité économique de nombreux pays, assurent désormais leur suprématie sur l’ensemble des individus et des états, par une désinformation permanente du grand public, par le financement de leurs propres laboratoires de recherche et contrôle, et en « arrosant » certaines personnes dans les hautes sphères du pouvoir.

Premier exemple :

BAYER (Allemagne), 14éme groupe pharmaceutique mondial en 1997 possède 6 secteurs d’activité : produits agricoles, produits organiques, produits pharmaceutiques, produits industriels, polymères, techniques de l’information.

Deuxième exemple :

SANOFI (France), 18éme groupe pharmaceutique mondia l en 1997, est sous le contrôle de L’Oréal (19,4%) et du groupe ELF (35,1%)… un groupe qui a des relations « intimes » avec la gent étatique.

L’aluminium

On a pu voir, l’année dernière, dans l’actualité, des avertissements quant à des contenances

d’aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l’eau de nos robinets. Ces

avertissements étaient le fruit d’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche

médicale (INSERM). L’INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en 1994 et en 1996.

Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte. Pourtant l’aluminium est un neurotoxique qui peut être à l’origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d’accidents cardiaques, car il s’accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d’Alzheimer est proportionnel à la quantité d’aluminium dans l’eau potable.

La présence d’aluminium dans l’eau du robinet est le résultat de l’utilisation de sulfate d’alumine, dans les stations d’épuration, au moment de l’opérationdite de « floculation » qui vise à purifier l’eau de certaines impuretés, des particules argileuses notamment. D’autres produits aussi efficaces, et inoffensifs, pourraient être utilisés, mais leur coût serait supérieur. De plus, la présence d’aluminium ne se cantonne pas seulement dans l’eau de nos robinets, mais se retrouve aussi dans les canettes de bière et de sodas, dans les rouleaux d’emballage, dans les casseroles, dans les tubes de sauces et de pâtes dentifrices, les ustensiles de cuisines.

L’impact économique et sanitaire d’une confirmation de l’étude citée plus haut serait catastrophique.

La pression des lobbys des industriels, tel que Pechiney, l’un des principaux producteurs français d’aluminium, et de la Lyonnaise des Eaux ou encorede Vivendi (ex-Générale des Eaux) explique la minimisation de l’étude par les différents ministères concernés.

Pechiney est une entreprise dont la majeure partie du capital est détenue par des actionnaires

institutionnels français (21,9%) et étrangers (48%) , ainsi que Suez-Lyonnaise des Eaux (30% ; 30%), et Vivendi (24,5% ; 45,6%).

La panique boursière qu’engendrerait une annonce négative confirmée sur les effets alarmants de l’aluminium sur la santé publique signerait probablement la mise à mort de ces grands groupes, de par la fuite des capitaux qu’elle provoquerait.

Mais Suez-Lyonnaise des Eaux est actionnaire à 34,5 % de la chaîne de télévision M6 et à 25% de TPS. Vivendi possède 52,6% de Télé Monte Carlo et 3 4% de Canal +, qui possède lui-même 70% de Canal Satellite. Voilà démontrée la dangerosité que représente la prise de pouvoir médiatique par les grands groupes industriels.

Le lien entre le fluor et l’aluminium Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby

industriel et financier a alors financé des études attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.

L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier : » Il faut être clair : on ne risque pas de mouriren buvant de l’eau du robinet « . Mais quel crédit accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).

Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme decontrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.

Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes , les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins.

Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l’indifférence générale malgré les nombre aux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de tout à chacun.

Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit économique ou politique.

3- Pourquoi le Fluor est-il dangereux pour la santé ?

http://www.amessi.org/Danger-du-Fluor

Il faut savoir que toutes les intoxications par le fluor génèrent des troubles psychiques graves

pouvant conduire à la perte de la volonté, voire de la folie, surtout lorsque cette intoxication se produit pendant la phase de croissance. Ce n’est pas pour rien que l’eau de boisson ne doit

absolument pas dépasser un seuil critique de fluor pour être potable.

D’autre part, rappelons que « le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l’ossature, favorisant des microfractures au niveau du squelette »… Il agit lentement et en profondeur et favorise ainsi les scolioses, les cyphoses, l’hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de l’organisme (Source : « des clefs pour vivre » du Docteur Alain Scohy).

Sur le site internet de Project Censored, nous trouvons encore des infos passionnantes sur ce thème, notamment que des documents gouvernementaux, longtemps restés secrets jettent un rayon de lumière sur le débat concernant la fluoration de l’eau potable et ajoutent aujourd’hui un grand nombre de preuves scientifiques concernant les effets du fluor sur la santé. Ainsi, dans les années 1940 les scientifiques du Manhattan Project considérait qu’à faible dose le fluor ne comportait aucunrisque pour l’organisme. On sait aujourd’hui que les chercheurs avaient reçu l’ordre de cacher les preuves des dangers du fluor et ses taux de toxicité pour éviter d’être poursuivi en justice par lesvictimes (source : www.sonoma.edu/projectcensored)

A l’automne 99, le Earth Island Journal publiait une info selon laquelle le chirurgien dentiste Hardy Limeback, Pdt de l’association des dentistes canadiens annonçait qu’il n’était plus en faveur de la fluoration de l’eau potable et que l’absorption de fluor présentait très peu d’intérêt pour les dents, à supposer même qu’elle en présentât un et qu’aujourd’hui les risques l’emportent sur les bénéfices, puisque le fluor a un effet néfaste sur les dents et les os.

Au fait le Téflon ou Tefal qui recouvre le fond de votre poêle à frire est du PTFE, c’est à dire du Polytétrafluoréthylène, c’est à dire une « résine fluorée » ou du fluor mélangé à du plastique – (source Paul Caldwallader – pjcaddz@vienet.net.au)

Dans « Secrets toxiques : Le Fluor et le programme de la Bombe A », les journalistes C. Bryson et J. Griffitns écrivent « la preuve que le FLUOR est inoffensif pour les êtres humains à faibles doses a été en grande partie fabriquée par des scientifiques qui travaillaient sur le programme de la bombe A et qui avaient des ordres du gouvernement US de fournir, en cas de litiges des preuves à opposer au cas où le Fluor provoquerait des dommages aux citoyens ».

Selon Nina Silver (mail : nina@bestweb.net) c’est effectivement, de manière indésireuse que le fluor a été introduit sur le marché et vanté comme agent de prévention des caries dentaires. Malgré tout il faut savoir que le fluor servait d’élément important à la fabrication des bombes

A pendant la guerre,et que d’autre part, le fluor est un sous produit des industries de ’aluminium et des pesticides. Les fermes qui se trouvaient à proximité des usines fabriquant le fluor avaient des récoltes brûlées et flétries, et des animaux toujours malades. Les ouvriers eux-mêmes travaillant à l’usine avaient de dangereuses concentrations de fluor dans le sang.

En outre, les tests effectués par le gouvernement US ont démontré que le fluor était très toxique et provoquait, entre autre, des lésions du système nerveux central, des malformations de naissance et contrairement à ce qui est toujours affirmé, tache et détruit les dents au lieu de la préserver.

D’ailleurs, la loi américaine précise que tout dentifrice contenant du fluor doit mettre en garde le consommateur qui, s’il avale accidentellement plus de dentifrice qu’il n’en faut pour le brossage des dents doit « immédiatement consulter un médecin ou contacter un centre anti poison ».

Dans « Union News » tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l’article « votre dentifrice est-il sûr »

cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche chez ARM et AMMER « quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de mort et les tibias croisés »

Un autre témoignage enfin, celui de John Yiamouyiannis :

« Le fluor : facteur de vieillissement » (Fluoride : the Aging Factor, 1986)dans cet ouvrage qui eut un gros succès, l’auteur, biochimiste,décrit les effets nocifs et dévastateurs du fluor dans le monde entier, ceux d’un dangereux poison.

Dans son livre, il cite de nombreux cas d’enfants présentant de graves symptômes ou ayant même trouvé la mort après ingestion de fluor sur le fauteuil du dentiste. Il cite les recherches menées dans divers pays (URSS, Japon, Af. du Sud, USA,…) par un grand nombre de chercheurs qui tous ont mentionné les défectuosités génétiques et les maladies imputables au fluor. Et le fluor n’est pas seulement présent dans le dentifrice, mais aussi dans l’eau de boisson.

Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a

correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche ; autres méfaits : convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements.

Le fluor s’accumule dans la glande pinéale Le fluor, ajouté à l’eau du robinet dans de nombreuses villes et comtés, et vendu par WalMart dansson eau pour nourrissons, a tendance à s’accumuler dans les dents en croissance, provoquant leur décoloration, et dans les os, les fragilisant. Ce minéral, lié au cancer, s’accumule aussi dans la glande pinéale, un centre de contrôle hormonal important, où elle fait des ravages considérables. Paul Connett, de Fluoride Action Network discute ici de l’étude de Jennifer Luke qui fait partie de sa thèse de doctorat et qui vient d’être publiée par Caries Research sous le titre :

Le dépôt de fluor dans la glande pinéale de la personne âgée.

Le fluor est un poison , et pourtant nous l’ajoutons à notre eau et à nos dentifrices, on dit même parfois que c’est un complément alimentaire, bien qu’il n’ait aucune valeur nutritive. Sa valeur thérapeutique – la prévention des caries dentaires – est officiellement la raison pour laquelle on ajoute ce minéral toxique à l’eau du robinet. Mais ses effets secondaires toxiques sont bien plus importants, comme l’a amplement documenté Paul Connett dans sa Déclaration d’intérêt.

La récente législation de l’Union européenne sur les compléments alimentaires inclue le fluor dans la liste des éléments essentiels à apporter comme supplément. C’est quelque peu ironique quand on pense à l’inquiétude feinte des législateurs européens « pour la toxicité présumée des vitamines et leurs efforts pour limiter les doses de ces nutriments vitaux, afin de « protéger la santé publique. »

Nous utilisons aussi le fluor dans de nombreux objets du quotidien, comme les poêles anti-adhésives, les tissus high-tech imperméables, etc. Quelques voix timides se sont tout de même récemment élevées pour évaluer l’impact sur la santé que cause le fluor. Le Journal of Water Health a publié un article portant sur ces recherches. Pendant ce temps, aux États-Unis, la FDA a décidé de permettre l’ajout du fluor dans l’eau en bouteille, peut-être par égard envers les offres de WalMart.

L’utilisation du fluor pour des raisons de « santé » est l’une des plus grandes folies de notre temps.

Serait-ce par hasard que les Allemands et les Russes ont tous deux utilisé le fluor pour rendre les prisonniers stupides et dociles, ou que le gouvernement américain a été poursuivi pour les effets toxiques dans l’environnement de ces sous-produits de déchets nucléaires ?

Les pressions visant à « enrichir » notre eau et notre nourriture en fluor ne sont certainement pas sansraisons cachées qui n’ont rien à voir avec la santé. Quoi qu’il en soit, la campagne pour la fluoration bat toujours son plein et les autorités sanitaires soutiennent ce poison comme si leur salaire mensuel en dépendait.

La thèse de Jennifer Luke sur le fluor et son accumulation dans la glande pinéale, est peut-être

l’étude qui, pour Paul Connett, fera déborder le vase :

Le fluor et la glande pinéale : Étude publiée dans Caries Research Les moulins de la science tournent très lentement.

Finalement, la première moitié du travail qui fut l’objet de la thèse de Jennifer Luke ; l’exposé à Bellingham, Washington (conférence ISFR) en 1998 et une interview filmée que j’ai faite avec elle (voir Fluoride Alert), a été publiée par Caries Research

.

De mon point de vue, ce travail est d’une importance fondamentale et pourrait être (ou devrait être) la goutte scientifique qui fait déborder le vase dela fluoration.

Quand Luke a découvert que la glande pinéale – une petite glande dans le centre du cerveau,

responsable de la régulation d’un grand nombre de fonctions (elle produit la sérotonine et la

mélatonine) – est aussi un tissu qui se calcifie, comme les dents et les os, elle émit l’hypothèse qu’elle concentre aussi le fluor à des niveaux très élevés.

La glande n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique et a un très haut débit de perfusion sanguine, devancé seulement par les reins.

Luke a fait analyser 11 corps au Royaume-Uni. Comme elle l’avait prévu, elle découvrit des niveaux astronomiques de fluor dans les cristaux d’hydroxyapatite de calcium produits par la glande. La moyenne était de 9 000 ppm, allant jusqu’à 21 000 dans un cas. Ces niveaux sont équivalents ou plus élevés que ceux des os des personnes atteintes de fluorose osseuse. Ce sont ces découvertes quiviennent d’être publiées.

Ce sont les répercussions de ces découvertes qui n’ont pas encore été publiées. Dans la seconde moitié de son travail, elle traita des animaux (gerbilles de Mongolie) au fluor dans une unité de recherche sur la glande pinéale de l’Université de Surrey, en Angleterre (on ne peut donc pas douter de la qualité de son travail). Elle a constaté que la production de mélatonine (telle que mesurée par la concentration d’un métabolite de mélatonine dans l’urine) était plus faible chez les animaux traités avec de fortes doses de fluor que chez ceux traités

avec de faibles doses.

Luke émit l’hypothèse que l’une des quatre enzymes nécessaires à la conversion de l’acide aminé tryptophane (présent dans l’alim entation) en mélatonine est inhibée par le fluor. Ce pourrait être l’unen des deux enzymes qui convertissent le tryptophane en sérotonine ou l’une des deux autres qui convertissent la sérotonine en mélatonine.

L’importance ? Énorme. La mélatonine est responsable de la régulation de toutes sortes de fonctions et une grande quantité de travaux se penchent sur son rôle potentiel dans le vieillissement, le cancer et de nombreux autres processus vitaux. Une des fonctions qui intéresse particulièrement Luke, est le déclenchement de la puberté. Les niveaux les plus élevés de mélatonine (produits seulement la nuit) se rencontrent chez les jeunes enfants. On pense que c’est la chute de ces niveaux de mélatonine agissant comme une horloge biologique qui déclenchent le début de la puberté. Dans son étude surles gerbilles, elle constata que les animaux traités avec de fortes doses de fluor atteignaient la,puberté plus tôtque ceux traités avec de faibles doses.

Nous savons par des études récentes – et une couverture médiatique considérable – que les jeunes filles atteignent de plus en plus tôt la puberté au x États-Unis. Luke n’affirme pas que le fluor (ou la fluoration) en est la cause, mais son travail est un signal d’alarme très préoccupant.

Le rôle du fluor dans la puberté demande une enquête plus approfondie. Il est intéressant de noter que lors du combat sur la fluoration entre les villes de Newburgh et Kingston (1945-1955), il fut constaté que les filles de Newburgh buvant de l’eau fluorée avaient leurs premières menstruations en moyenne cinq mois avant les filles de Kingston buvant de l’eau n

on-fluorée, mais on pensa à l’époque que ce n’était pas important (Schlessinger et al, 1956).

Si l’on considère la gravité de la possible interférence du fluor sur la glande pinéale d’un enfant en croissance (et d’ailleurs aussi sur les glandes pinéales des personnes âgées), on perçoit toute l’imprudence de la fluoration. Le principe de précaution, de même que le bon sens, voudrait qu’on ne prenne pas ces risques sur les enfants pour un bénéfice qui, au mieux, s’élève à 0,6 surface dentaire sur 128 surfaces dentaires dans la bouche de l’enfant (Brunelli et Carlos, 1990, tableau 6).

Je possède un exemplaire de la thèse de Luke et je suis prêt à le partager avec ceux qui ont un intérêt scientifique sérieux en ce sujet. Vous pouvez retrouver les autres références citées ici dans manDéclaration d’intérêt également publiée sur la page de Fluoration Action Network.

http://fr.sott.net/article/1109-Le-fluors-accumule-dans-la-glande-pineale