Liliane Marquier - Soins énergétiques - Tél : 02.96.52.39.48
Cancer et coupeur de feu : Liliane Marquier Magnetiseur Guerisseur Guingamp
Coupeur de feu
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BRULURES FAISANT SUITE
AUX RADIOTHERAPIES
Brûlures faisant suite aux traitements par radiothérapie lors des soins anti-cancer
Ces soins sont pratiqués à distance après que les patients m’aient transmis tous les renseignements utiles dont le planning hebdomadaire des séances de rayons.
Je coupe le feu sur place et à distance
BRULURES ACCIDENTELLES
brûlures par le feu
l’eau bouillante
la soudure
le soleil
les huiles essentielles
le laser
AUTRES
renseignements soins magnetismeEn cas d’urgence : pour les personnes ne pouvant se rendre au cabinet, consulter les deux rubriques suivantes, « soins à distance », pour les renseignements à fournir et « honoraires » (toutes les soins, qui sont mon unique travail, y sont soumis). Couper le feu est un travail à part entière : arrêt des brûlures avec soins énergétiques à l’appui.
Liliane Marquier soins énergétiques
ZONA
Le zona ou « feu de Saint Antoine »
renseignements soins magnetismeL’intervention la plus rapide possible est conseillée. Soigner un zona plusieurs semaines après qu’il se soit déclaré, voire plusieurs mois ou années plus tard, ne relève pas de l’art du coupeur de feu seul mais des compétences de celui-ci conjointes à celles du magnétiseur-guérisseur.
Voici un article extrait du livre de Jean Palaiseul « Tous les espoirs de guérir ».
Il s’agit d’une conversation avec son ami Jean Valnet aromathérapeuthe, atteint d’un zona.
Soin au zona Liliane MarquierL’impuissance de la médecine devant cette maladie, je la connaissais, hélas par expérience personnelle. J’avais eu un zona et j’avais encore présents à l’esprit les commentaires de l’ami médecin que j’avais consulté.
« Tous les remèdes que je pourrais t’ordonner, m’avait-il dit, ne serviraient pas à grand-chose. Prends des calmants, mets du talc sur tes boutons, et surtout aie beaucoup de patience… « Et, en guise de consolation, il m’avait fait un petit cours sur cette affection, en l’émaillant de citations judicieusement choisies parmi les travaux de spécialistes. Le zona doit son nom au mot grec zoné qui signifie » ceinture « , non pas parce qu’il se situe de préférence à hauteur de la taille, mais parce qu’il s’étend en « ceinturant » progressivement le corps. Autrefois, il était désigné par des formules plus en rapport avec ce que ressent celui qui en est atteint : on l’appelait « feu sacré » ou « feu de Saint-Antoine ».
Il débute par des douleurs localisées qui font penser une crise violente de névralgies. Après deux ou trois jours, apparaît une éruption de plaques dont la coloration rappelle celle du coup de soleil. Rapidement, ces plaques se recouvrent de petites vésicules rouge vif, creusées bientôt en cupules suintantes dont la sensibilité est particulièrement aiguë et le contact douloureux.
Les lésions éruptives se maintiennent de dix à vingt jours, suivant leur étendue, mais les douleurs profondes qui ont apparu dès le début de la maladie persistent souvent très longtemps après la cicatrisation des plaies cutanées. Chez les vieillards, elles peuvent durer des années. Elles sont quelquefois assez violentes pour empêcher le sommeil et nécessitent, dans ce cas, le recours à la morphine qui, seule, permet au malade de prendre un peu de repos. Jusqu’à la fin du siècle dernier, le zona était généralement classé parmi les « éruptions de nature arthritique qui se manifestent chez les rhumatisants ».
Aujourd’hui, tout le monde est à peu près d’accord pour penser qu’il est dû à un virus filtrant (c’est-à-dire un virus qui traverse les filtres utilisés pour retenir les microbes et qui ne peut se voir qu’au microscope électronique), lequel se fixe sur les racines nerveuses et les ganglions, mais n’atteint qu’un nombre restreint de ces éléments nerveux et toujours d’un seul côté ; cela explique d’une part que l’éruption soit très localisée, d’autre part qu’elle corresponde au trajet d’un nerf dont l’atteinte est responsable des phénomènes douloureux. Certains spécialistes estiment que ce virus est le même que celui de l’herpès simple (le zona s’appelle aussi » herpès zoster « ) ; d’autres soutiennent qu’il s’agit du germe de la varicelle et que le même microbe serait capable de provoquer l’une ou l’autre maladie selon l’âge du sujet auquel il s’attaque.
« Quoi qu’il en soit de cette dispute académique, note un auteur, il reste que le zona est fréquent et pénible. Il reste aussi que nous n’avons pas de remèdes solides et rapides à lui opposer. Naturellement, la liste est longue de tous les procédés thérapeutiques offerts par les uns et par les autres, mais on se posera encore longtemps la question de savoir si les calmants, l’hygiène locale et la patience ne font pas aussi bien… » (Ce point de vue rejoint, on le voit, celui de mon ami médecin ! )