Toute demande de soin fait systématiquement l’objet d’une vérification préalable par un protocole qui détermine si la demande entre dans le cadre de mes pratiques (certains soins relèvent de la médecine conventionnelle,  les effets secondaires des traitements médicaux aussi).

L’alphysique permet de travailler à distance sur la santé et sur des situations où il convient de rétablir, ré-harmoniser des équilibres perdus ou inexistants, dans le respect des lois fondamentales de la vie et du plan d’incarnation de chacun.

Les champs de cohérence

L’alphysique est issue des recherches et travaux de Jacques Ravatin sur les champs de cohérence et les émissions de forme (cf. l’ouvrage de Jacques Ravatin : « Théories des formes et des champs de Cohérence » et « Le grand livre des actions à distance » de Franck Sénéquier Crozet).

Ces travaux ont été poursuivis par des recherches, des travaux ultérieurs, notamment par Fanck Sénéquier Crozet, ils ont débouché sur l’alphysique

L’alphysique est un système spirituel reçu en état de supraconscience par Franck Senequier Crozet, qui va bien au-delà de la radionique et même de la magie car il opère à un niveau beaucoup plus subtil et met l’opérateur en relation directe avec le plan ultime de la création.

J’ai été initiée par Franck Sennequier Crozet à cette discipline psycho-spirituelle qui permet de remettre de l’ordre dans certains chaos à l’aide de pratiques accompagnées des outils nécessaires (en illustration, certains de ces objets) :

Franck Senequier Crozet est l’auteur de l’ouvrage : « Le grand livre des actions à distance – Les pratiques alphysiques » où il s’attache aux techniques mentales permettant une réelle action à distance par le magnétisme personnel, la sophrologie alphysique, la psycho-cybernétique, le phosphénisme, la télépathie, la prière, la télékinésie.

Frank Sennequier est le fondateur du système alphysique kénosophique. Il existe un autre courant alphysique appelé système arkalien qui a été fondé par le physicien Jean Jacques Ravatin mais ce système est sans doute beaucoup moins accessible à une intelligence moyenne. Quoiqu’il en soit, je conseille ce livre car il permet d’entre-ouvrir la porte de l’alphysique.

L’opérateur est le catalyseur des forces qu’il met en œuvre.

 

♣ ♣ ♣ ♣ ♣

 


Matière, énergie et information

En alphysique il n’y a ni vibrations, ni énergies au sens commun de ces termes. Il n’y a que des IGF (Informations Générées par des Formes).

L’alphysique repose toute entière sur une « théorie de l’Information ». En cela, elle est novatrice, révolutionnaire et conforme à l’esprit qui guide actuellement toute la recherche dans le domaine de la physique avancée, notamment dans celui de la physique quantique.

 
28 May 2011
 

Jacques Ravatin nous a quitté en Mars 2011. C’est par cet entretien de 1978 – ci-dessous – que nous l’avons découvert. Il était la continuation et la synthèse d’une longue lignée de chercheurs et de scientifiques d’avant-garde qui, à la fois, pratiquement et théoriquement étudiaient les liens du visible et de l’invisible, de leurs implications et de la possibilité de changer de conscience. Son œuvre reste relativement méconnu et il est dommage que plusieurs farfelus s’en inspirent. Ravatin continua ses travaux avec sa fondation Ark’all et publia de nombreuses études, parfois sous le pseudonyme de Vladimir Rosgnilk. Ses thèses restent à être vérifier par une communauté plus large de chercheurs…

(Revue Psi International. No 7. Octobre-Novembre-Décembre 1978)

Une nouvelle approche de l’Univers… Un reportage de Joël André

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.

Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

Mais alors, fallait-il publier ces propos, ou encore n’était-il pas trop tôt pour le faire ?

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L’alphysique ne s’apparente à aucune discipline ésotérique connue, mais chacune d’entre elles peut être considérée comme un de ses sous-ensembles. Retourner à la source originelle, à l’idée-mère dont la plupart des enseignements initiatiques ne sont que la forme altérée, tel fut l’axe des recherches qui aboutirent à l’élaboration de l’Alphysique.

Savoir se servir d’un ordinateur n’implique pas nécessairement en connaître le fonctionnement intime et pénétrer les arcanes de l’informatique de haut niveau; cependant, sans cette dernière, il ne pourrait fonctionner. Il en va de même en Alphysique : ses produits, pour la plupart, sont d’un usage extrêmement simple, mais les principes ayant rendu possible leur création sont le fruit de recherches des plus pointues.L’une des plus grandes aberrations contemporaines consiste à vouloir obtenir des réponses simples à des questions complexes, qui nécessiteraient un approfondissement. L’ennui est qu’en ce qui concerne les choses de l’esprit, le niveau au delà duquel l’on considère entrer dans une trop grande complexité s’est sensiblement abaissé, toute réflexion profonde devenant «prise de tête». En dépit d’un permanent souci d’accessibilité, ces pages demanderont probablement quelque effort de réflexion … mais au terme de celles-ci, que de perspectives nouvelles ! Car l’Alphysique ne propose rien de moins qu’aborder sous un angle résolument nouveau les rapports existant entre l’Esprit et la Matière.

Sous son angle le plus trivial, en schématisant à l’extrême, on pourrait affirmer que les outils alphysiques (nous entendons ici «outils» au sens large, c’est à dire tout ce qui nous permet d’agir d’une manière ou d’une autre et d’exercer un travail de transformation) sont une association entre les symboles les plus puissants des traditions ésotériques du monde entier et les travaux les plus récents en matière d’émissions dues aux formes. Mais ils ne sauraient être résumés à cela, car l’Alphysique, en ses plus hauts niveaux, comporte une dimension métaphysique et cosmogonique. L’élaboration des théories sur lesquelles cette discipline repose ne s’est pas effectuée en un jour, mais s’est lentement structurée au fil des recherches et expérimentations successives ; celles-ci furent, en leurs prémices, principalement guidées par l’intuition. Ceci n’ôte cependant rien à leur valeur intrinsèque. N’oublions pas que la fameuse théorie de la relativité, résumée par l’équation E = Mc² apparut à Einstein au cours d’un rêve … Il va de soi qu’une telle exploration demande souvent du temps, parce qu’elle est pour ainsi dire menée, au départ, à l’aveugle, sans aucun point de repère, de manière des plus empiriques, impliquant des erreurs et des trébuchements.

Certains alphysistes sont dotés d’un solide bagage scientifique excluant toute tentation de crédulité. C’est notamment le cas de Jacques Ravatin, physicien, ancien membre du CNRS, dont les percutantes intuitions devaient engendrer l’Alphysique.

L’Alphysique nous permet d’accéder au Kenos; ce n’est pas là le moindre de ses mérites … mais au fait, qu’est-ce que le Kenos?

Pour ma part, je le définirai comme le vide quintessentiel, l’Incréé, la matrice dans laquelle tous les mondes possibles demeurent en gestation. Autrement dit, l’Alphysique nous relie à un hors-espace temps, une page vierge sur laquelle peuvent s’inscrire de nouvelles versions de notre réalité, cette réalité n’existant pas encore dans une telle «dimension» – bien que ce mot de «dimension» ne corresponde pas littéralement à la réalité de ce avec quoi nous communiquons, il rend plus intelligible notre propos. Contentons-nous donc pour l’heure d’une telle «approximation».

Le Kenos est en quelque sorte l’équivalent du Tao oriental, ce n’est sans doute pas un hasard si le Tao est l’une des métaphores les plus utilisées par les physiciens quantiques «spiritualistes». Voir notamment à ce sujet «Le Tao de la Physique» de Fritjof Capra – ou de «Ce qui ne peut être nommé» – traduction littérale du Principe Créateur biblique. Une sorte de pré-big bang dans lequel toutes les virtualités demeurent envisageables. C’est ce que Jacques Ravatin nomme le Global, dans sa théorie sur les champs de cohérence (voir «Théorie des formes et de champs de cohérence» – 3 tomes aux Editions Cosmogone).

Le Kenos contient potentiellement trois principes : le Père, qui représente l’Intelligence Absolue, mais également l’Absence Absolue, d’une certaine manière le non-être, le non-advenu. La Mère, symbole de l’Amour Absolu ; le Fils, qui unit en lui Amour et Intelligence afin d’accéder à la Connaissance – qu’il convient de distinguer du Savoir-. Ces trois principes ne se différencient que lorsqu’il entrent en phase de création ; ils vont engendrer douze univers ou fratries, fonctionnant sur des espaces-temps différents.

Ce que l’astrophysicien Jacques Vallée, qui fut longtemps affecté à l’Obervatoire de Meudon et travaille actuellement à Silicone Valley, cet eden de l’électronique, appellait «univers tangentiels». Ce que la physique quantique nomme, fort imparfaitement d’ailleurs, «univers parallèles». Nous nous trouvons, quant à nous, dans la quatrième de ces fratries.

Ces univers sont chacun séparés en quatre plans : matière, anti-matière, psychique et spirituel. Les lecteurs et lectrices comprendront sans doute mieux désormais pourquoi j’affirme que l’Alphysique transcende les théories de l’ésotérisme, puisque les englobant toutes.

L’Alphysique demeure néanmoins résolument a-magique, ne se situant tout simplement pas dans le même champ d’expérimentation. Elle est en effet totalement étrangère au phénomène de «transfert» autour desquels s’articulent la Magie comme la Radionique. Dans ces deux domaines, une onde, ou une énergie de type X va être utilisée et détournée de son milieu originel (ce que certains nomment les «mondes subtils» ou «l’astral») ou déviée de son parcours et de son but premiers pour être utilisée en vue d’une réalisation.

Malheureusement, rares sont ceux qui connaissent réellement les règles et les risques d’une telle déviation. Tout acte de magie ou de sorcellerie implique nécessairement une compension. Tel sorcier de campagne, par l’intermédiaire d’un rituel approprié, va guérir un troupeau de vaches … mais celles-ci ne donneront plus de lait.

Comme me l’affirmait un praticien «Tu peux faire un rituel pour obtenir la richesse absolue … Tu peux … Mais je ne te dis rien de ta santé !». J’y ajouterai les graves désordres animiques que cela peut engendrer. J’ai autrefois, en faisant appel à la radionique, payé le prix fort pour savoir qu’en ce qui concerne la manipulation des «énergies» «ondes» «vibrations» – quel que soit le nom qu’on leur donne – dans la perspective d’en tirer profit, on n’obtenait rien sans rien … et de telles activités exigent souvent de vous beaucoup plus que vous n’êtes susceptible de donner sans y perdre votre substance … L’Alphysique relève du domaine purement spirituel et ne saurait donc y être assimilée, puisque ne s’y produit nul transfert, sous quelque forme que ce fût.Toute action alphysique repose avant toutes choses sur un
apport d’informations.

Elle ne vise pas à dénaturer ni à transformer le réel, mais à rendre accessibles et perceptibles d’autres angles de vision. C’est là un point essentiel, que nous allons être amenés à développer. Là réside en effet la divergence fondamentale entre toutes formes de travaux occultes (dont la radionique constitue, en quelque sorte, le versant le plus contemporain) et une opération d’ordre kenosophique. Un abîme de même nature que celui qui sépare l’hypnose de la sophrologie. Si l’un et l’autre connaissent leurs limites (nous étudierons ultérieurement celles de l’Alphysique), il n’en demeure pas moins vrai qu’alors que la première vise à exercer un transfert en imposant une volonté extérieure à celle de la personne hypnotisée, la seconde agit par suggestion, avec la pleine participation de l’individu en état sophronique.

De même, l’Alphysique en aucun cas ne vise à imposer nos désirs à autrui. Elle laisse chacun parfaitement libre de ses choix, respectant le libre arbitre. Il s’agit en quelque sorte d’un atout supplémentaire, non d’une quelconque puissance exercée au détriment d’un autre être vivant.

Il nous semble nécessaire, pour mieux nous faire comprendre, d’user d’images qui, pour imparfaites qu’elles soient n’en éclaireront pas moins les lecteurs et lectrices sur les enjeux de l’Alphysique.

Imaginez, comme ce fut souvent le cas lors des débuts de la FM, deux radios occupant deux fréquences proches. Que la puissance d’émission de l’une soit légèrement supérieure à celle de l’autre et les deux radios seront brouillées, quasiment imperceptibles l’une et l’autre. Si l’une des deux possède une puissance très largement supérieure à l’autre, elle écrasera totalement celle-ci, dont les informations deviendront inaccessibles. Si leurs puissances sont égales, les deux demeureront audibles et l’auditeur sera en mesure de choisir. Un autre cas de figure consiste à ce que deux radios s’associent, ayant chacune tour à tour leurs heures d’antenne.

En Alphysique, de même, une information nouvelle ne deviendra accessible – accroissant ainsi vos chances de succès dans ce que vous avez entrepris, et ce, quel que puisse être le domaine concerné – que dans les cas suivants:
a) la résistance rencontrée jusqu’alors est de bien plus faible amplitude que vous ne l’imaginiez, et l’information nouvelle peut s’y «substituer» sans peine
b) votre information est de même amplitude que celle qui y préexiste. Alors les deux informations (qu’elles concernent l’amour, le travail, la chance, le potentiel vital, la spiritualité ou tous autres types de préoccuppations) deviendront également accessibles. Mais le choix final sera cependant hors de votre portée
c) votre information s’associe à une autre information – à l’instar de la métaphore des deux radios – de nature similaire. En ce cas, vous êtes assuré d’obtenir votre «temps d’antenne». À vous ne pas l’outrepasser et de percevoir le moment juste pour agir …

Imaginez également -décidément, nous sollicitons beaucoup, dans ces pages, l’imagination des lecteurs et lectrices qui, nous en sommes certains, n’en manquent pas par exemple dans le domaine scientifique, historique ou ethnologique, une information nouvelle, sous forme d’une découverte essentielle, susceptible de remettre en cause nombre de connaissances antérieures.

Plusieurs cas de figure peuvent alors se présenter, une telle information heurte de plein fouet une pensée dominante inébranlable. Elle sera alors souvent purement et simplement rejetée, ignorée ou dénigrée. Il n’est pas non plus impossible que le chercheur surestime la valeur de son information, ou en ait mal mesuré des données contradictoires. C’est le cas de la «grosse radio» écrasant la petite parce que d’une puissance d’émission plus forte. Seconde possibilité : la découverte surgit en une période où les connaissances antérieures sont sérieusement ébranlées et ne tiennent qu’à un fil. Elle dominera alors et emportera l’adhésion. Il existe également des cas de cohabitation, par exemple la physique quantique, utilisée dans des domaines où la physique classique ne «colle» plus, sans que celle-ci soit cependant totalement éradiquée du mode de pensée scientifique.

Une information ne prendra toute sa valeur que si l’Univers est prêt à l’accepter (idée qui rejoint en bien des points la théorie des champs morphogénétiques du scientifique Rupert Sheldrake. Nous reportons nos lecteurs et lectrices intéressés par cette théorie aux ouvrages dudit, la développer nous entraînerait trop loin de notre sujet) et à la recevoir. Certaines informations peuvent demeurer longtemps en sommeil, être étouffées avant de resurgir et d’être communément acceptées. Cependant, ne pas les transmettre, c’est risquer de retarder le cours d’une possible évolution. Une pièce à conviction n’aboutit pas nécessairement à un verdict, mais ne pas la communiquer serait ne pas mettre toutes les chances de son côté d’aboutir à un résultat.

Pratiquons quelques instants l’uchronie, cet art qui consiste à imaginer, à partir d’un point précis de l’Histoire, ce qu’il serait advenu si les choses à ce moment avaient bifurqué dans une autre direction, si tel choix en lieu de tel autre, avait été accompli. On sait que Léonard De Vinci avait réalisé les plans – d’une étonnante précision – … d’un hélicoptère. Pour qu’il soit fonctionnel, il ne manquait qu’un élément, mais d’une importance capitale : le moteur. Supposons à présent qu’une tierce personne aie découvert comment construire et faire fonctionner celui-ci et que les deux individus se connaissent. Il communique l’information au peintre et inventeur. Cela signifierait-il nécessairement que le grand Léonard s’embarque dans l’aventure ? Évidemment non, car l’information peut se heurter à des obstacles de différentes natures : elle se heurte par trop aux concepts de l’époque pour être «utilisable» ; elle choque la pensée du maitre et ne correspond nullement à ses idées sur la question. Pourtant, en ne la transmettant pas, notre homme occulte la possibilité d’un prodigieux bond en avant, qui demeure malgré tout envisageable.

L’Alphysique ne procède pas autrement ; elle n’est rien de plus – ni de moins – qu’une transmission d’informations. À travers ces multiples exemples, on aura sans doute mieux saisi en quoi celle-ci peut nous être utile, et peut souvent s’avérer totalement indispensable.

Etudions à présent quelques exemples pratiques, démontrant, dans les faits, les possibilités et limites de l’Alphysique.

Vous désirez dynamiser, dans votre vie, le secteur amoureux.

L’épanouissement, l’accomplissement affectif est une information nouvelle que vous allez transmettre dans le Kenos, par l’intermédiaire d’un instrument alphysique. Il existe nécessairement une information préalable, qui freine pour l’heure une telle réalisation, faute de quoi vous ne feriez sans doute pas appel à l’Alphysique. Dans la plupart des cas, vous obtiendrez des résultats probants, et parfois exceptionnels. Si nous savions à
quel point est souvent mince la cloison qui nous sépare du bonheur, nous ne prendrions pas l’existence si tristement au sérieux … Il arrive cependant que l’opération alphysique échoue. Complexe d’échec, auto-persuasion de l’impossibilité de réussir en ce domaine souvent liée à des problèmes d’enfance, peur de l’autre, attitudes, comportements générateurs d’impasses, non-respect des codes d’autrui, insistance à chercher dans de mauvais endroits, certitude que «nous n’avons pas droit» au bonheur : tel est le type d’informations qui, séparément ou formant une redoutable combinaison, si elles sont portées à leur amplitude maximum, c’est à dire si elles constituent le mode de pensée dominant, à tel point que nous n’en puissions envisager d’autre et les considérant comme faisant partie de notre «moi intime», peuvent faire écran à tout apport d’informations nouvelles.

Si, à notre quête, nous associons, dans nos pensées, une personne précise, les écueils seront plus nombreux encore: répulsion, totale indifférence, incompatibilité réelle, personne déjà amoureuse ailleurs etc etc. Irions- nous jusqu’à affirmer, dans une telle perspective, l’impossibilité du succès ? Loin de nous une telle pensée: l’information peut en effet rejoindre une information de même nature – qui peut aller de la sympathie à une pulsion inavouée – et faire émerger un processus amoureux. Ou permettre à cette personne d’envisager positivement l’idée d’une liaison qui ne l’aurait pas naturellement effleurée. Ou encore la faire passer de l’inattention totale à l’intérêt du «pourquoi pas». Avec toujours cependant la possibilité de «plonger» … ou de s’en abstenir, pour une raison ou une autre.

L’Alphysique, nous l’avons dit, demeure totalement respectueuse du libre arbitre. On ne soulignera jamais suffisamment les dégâts provoqués – au niveau moral, physique, spirituel, relationnel et énergétique – par les soi-disants envoûtements d’amour, qui ne sont la plupart du temps que des techniques de possession incompatibles avec un véritable sentiment amoureux.

L’apport d’informations dans le domaine de la vie professionnelle peut être des plus déterminants. Mais là encore peuvent surgir des obstacles inattendus, allant de l’auto-complaisance à un manque de désir, moins fréquents que certains ne veulent bien l’affirmer, du moins en pensée dominante, mais dont on ne peut cependant rejeter l’existence. Lorsque la demande se fait plus «précise», les risques augmentent d’autant. Chacun souhaite bien sûr obtenir une augmentation ou une promotion, exercer un emploi gratifiant etc etc. Mais peu de nous connaissent leur réelle valeur, l’étendue et les limites de leurs compétences. Du moins au niveau conscient.

Cette information existe pourtant, bien ancrée dans le subconscient.

Or, elle est dans tous les cas dominante. Toute information en contradiction flagrante avec elle ne pourra être perçue et intégrée. Ajoutez à cela la possibilité de chercher sur une mauvaise voie, qui ne nous correspond pas, la peur panique quelquefois, de l’argent et du confort et l’on se trouve en présence d’un véritable casse-tête chinois.

Le domaine de l’énergie vitale n’en est pas moins délicat outre le problème souvent évoqué par les réincarnationistes des affections dites «karmiques», notamment dans le cas de maladies cycliques face auxquelles la médecine traditionnelle s’avère généralement impuissante, les écueils résident dans le psychisme même de la personne pour laquelle on agit, qu’il s’agisse de soi même ou d’une tierce personne.

Une déficience physiologique peut être un signal d’alarme, nous signifier quelque chose qu’il nous est indispensable de comprendre ou nous servir d’alibi, duquel découlent nombre d’avantages secondaires, entre autres la fuite d’une situation pénible.

Une action alphysique, un transfert d’informations peut s’avérer totalement inefficace en ces cas. Pour en savoir davantage néanmoins, avant d’entreprendre, il vous est possible de mieux cerner les tenants et aboutissants d’un problème en vous livrant à une sorte de «bilan» par l’intermédiaire d’un pendule. Vous posséderez ainsi une idée plus précise de ce qu’est susceptible de vous apporter une intervention alphysique.

Mais, comme toute discipline, la pratique de l’Alphysique peut nécessiter, avant de pouvoir être mise en oeuvre, un travail sur soi même, ses émotions et ses motivations. Ce que l’on nomme, un peu trop hâtivement, «pensée positive», domaine si souvent dévoyé par des «vulgarisateurs» ne connaissant de la méthode Coué que ce que les ignares en colportent, n’échappe d’ailleurs pas à la règle précédemment énoncée de l’information dominante.

Ainsi, certains «adeptes» de la «psychologie dynamique», suivant aveuglément les préceptes du premier Murphy de passage, ont eu la mauvaise surprise de voir se produire des résultats à l’extrême opposé de ceux espérés … La raison en est des plus simples: l’information émise s’est heurtée à de nombreuses résistances inconscientes, créant une sorte de parasitage. L’action alphysique, ne reposant pas sur les mêmes principes, ne peut en aucun cas produire de tels effets.

L’Alphysique n’est donc ni une thérapie ni une pratique occulte … elle n’en demeure pas moins bien souvent stupéfiante par les résultats qu’elle nous permet d’obtenir. En toutes circonstances, vous pourrez bénéficier d’un champ alphysique protecteur. Ou pour être plus précis, vous enrichirez votre propre champ par l’apport extérieur d’informations. Il existe deux grands axes, deux écoles en quelque sorte, qui se rejoignent sur bien des points, de la recherche alphysique. La première est celle que nous venons d’exposer, celle de la théorie kénosophique, basée sur les IFA (Informations de forme alphysique); la seconde repose sur le concept des Eif’s (Émergence Influence Forme) Arkalliens, développée par Jacques Ravatin.

Partie du Rien (le vide quintessenciel), l’Alphysique, paradoxalement, mène à Tout.

Quelle ne fut pas ma surprise de constater que les nouveaux préceptes de la Physique Quantique, s’il faut en croire un récent numéro du magazine Science et Vie, se calquaient étrangement sur la théorie des IFA. Les grandes théories quantiques demeurent, avouons-le, hermétiques au commun des mortels … afin d’en simplifier l’accès à un plus grand public, certains scientifiques ont eu l’idée de remplacer les termes d’ondes et de corpuscules par la notion d’information. Nombre de concepts s’éclairent alors d’un nouveau jour: chacun peut comprendre qu’une information puisse être simultanément présente en plusieurs lieues, qu’elle puisse circuler tout en demeurant à notre portée, que la manière dont nous la percevons puisse en modifier la nature etc etc.

Surprenante synergie, où l’intuition, une nouvelle fois, est corroborée par la science.

Le Kenos peut être considéré comme une porte, dont formes et rituels de forme sont les clés. Les bijoux et objets présentés dans la collection alphysique de prestige ne sont pas nés du hasard, ni même d’une vision transcendante qui n’eût été mesurée à l’aune de l’expérience. Ils sont l’aboutissement de réflexions, de recherches, mais surtout d’innombrables tests et expérimentations, qui permirent de mettre en évidence leur exceptionnelle efficacité : ils constituent une voie d’accès directe à ce vide quintessentiel où pourront être semés les germes de votre nouvelle existence, en espérant qu’ils rencontrent un terrain des plus fertiles.

Les outils alphysiques peuvent être informés de deux manières différentes : active ou passive.

Le premier cas de figure concerne toute information relative à un changement de situation (professionnelle, affective, spirituelle etc etc) et correspond, entre autres, aux pendules alphysiques en cristal de roche pur hyalin (pendule du Maharajah, pendule Vajra, pendule cosmique, pendule Yi-king) et au tensiomètre universel.

Le second vise essentiellement à la création de champs de protection et se réfère à la plupart des bijoux appartenant à la collection alphysique de prestige.

Il convient d’opérer une distinction, qui n’est pas sans importance, entre celui qui désire pratiquer l’Alphysique et celui (ou celle) qui souhaite devenir Alphysiste. Un croyant sincère peut charger ses prières d’une réelle puissance, qui mèneront ses désirs authentiques jusqu’à leur légitime aboutissement. Cela ne signifie pas pour autant qu’il soit en mesure de pratiquer un grand exorcisme. Même en magie, certains rituels ne peuvent être pratiqués qu’au terme d’une longue initiation.

L’incorporation de produits alchimiques dans nombre d’instruments alphysiques pourrait à priori surprendre. L’erreur la plus communément admise consiste à traiter l’Alchimie en parent pauvre de la Chimie, quand elle relève principalement du domaine de la Physique. Qui ouvre un livre consacré à l’Alchimie et aux Alchimistes sera immédiatement frappé par deux évidences flagrantes a) l’omniprésence du mode symbolique, sous forme de contes allégoriques et de gravures, dans tout grimoire alchimique
b) l’insistance avec laquelle les alchimistes soulignent le but véritable de leur art : la métamorphose transcendante de l’adepte lui même.

La lecture et la compréhension des écrits alchimiques ne jouent qu’un rôle mineur dans cette transformation, celle-ci s’opérant essentiellement à travers l’observation de la nature, l’introspection et l’expérimentation. Étant donné le haut niveau d’exigence et d’implication autour desquels s’articule l’Alchimie, il est permis de formuler l’hypothèse de travail suivante : ayant intégré en lui la puissance des symboles, ayant atteint, au terme d’un long périple, une sorte de sur-conscience, l’Alchimiste peut, à volonté, devenir lui-même une clé permettant un accès direct au Kenos. Dans une telle perspective, l’Alchimie relève, globalement, même si y coexistent certains aspects qui semblent relever davantage du domaine énergétique, du transfert d’informations, dont l’exemple le plus frappant demeure la transformation du plomb en or, que celle-ci soit prise sur le plan métaphysique, la purification de l’âme ou sur le plan matériel. Une telle hypothèse est d’ailleurs confirmée par l’un des plus grands alchimistes contemporains, qui n’hésita pas à déclarer, en août 2001, sur les ondes de France Inter, «l’Alchimie est une Alphysique».

Dès lors, l’association intime de ces deux disciplines semble s’imposer d’elle même.

Les outils alphysiques demeurent totalement insaturables, puisque n’étant pas articulés autour d’un quelconque transfert, sous quelque forme que ce fût. L’élégance de leurs formes répond à une grande exigence esthétique, qui n’oblitère en rien l’évident souci d’efficience.

Il est important d’ajouter que l’Alphysique n’entre en conflit avec aucun type de religion ou de croyance, passée, présente ou à venir, puisqu’elle exprime en quelque sorte la quintessence de toutes.

Source :Revenir en haut Aller en basJacques RAVATIN, un scientifique français et l'ALPHYSIQUE Empty  Jacques RAVATIN, un scientifique français et l’ALPHYSIQUE  

Message

Cet article concerne l’alphysique kénosophique de F.Senequier et non celle de Ravatin beaucoup plus complexe et scientifique ( moins opérative également). 2 écoles pas forcément d’accord mais qui s’inspirent l’une sur l’autre.

L’alphysique se positionne clairement comme a-magique car selon cette dernière la magie oeuvre dans le monde de l’énergie et soumise à ses lois tandis que l’alphysique n’est qu’ informante, elle injecte une nouvelle information dans un objet, elle ne manipule aucune énergie. Cela pourrait d’ailleurs rejoindre la théorie des cordes et corroborer le fait qu’il est possible d’agir à la source même de toute énergie, à ce qui la précède… Dans quel but ? Ceux qui utilisent l’alphysique pensent s’affranchir d’un certain nombre de problèmes liés aux actions à distance. L’alphysique kénosophique est aussi spirituelle et s’inspire du mystère Trinitaire…

De nombreux objets ont été créés ayant un fort pouvoir informant, ici l’onde de forme est transcendée par le symbole, les plus intéressants n’ont fait l’objet d’aucune commercialisation ou diffusion pas plus que le savoir alphysique issu des branches précitées, cependant d’autres s’en sont inspirés et ont aujourd’hui créé leur propre courant alphysique. Tout reste à découvrir !

 
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